Je suis de retour

octobre 2, 2007

Quelle histoire quand même! Je quitte la blogosphère pour quelques jours après avoir perdu mon mot de passe et tous les conspirationnistes et les péquistes me changent de sexe et me confondent avec Pierre Morin.

Je l’ai déjà expliqué à plusieurs reprises, mais je vais le réexpliquer encore une fois: j’ai déjà été contactée par Pierre Morin quand il m’a envoyé des images pour accompagner certains textes, mais notre relation en est restée là. Alors désolé pour ceux qui voient des complots partout mais j’ai pas fermé mon blogue à cause de ça; j’ai juste perdu mon mot de passe et j’ai passé la fin de semaine à rebâtir le blogue (tout en suivant sur le web toutes les conneries habituelles de la gogauche).  Mais je suis la vraie et la seule Élodie Gagnon-Martin!

Je suis de retour, et je vais continuer de suivre à la trace tous les gogauchistes et les péquistes communistes. Comme ce pauvre Duceppe par exemple, comme on lit sur Cyberpresse:

Lorsqu’il tirera sa révérence de la politique fédérale, M. Duceppe aura droit à une pension annuelle de près de 115 000 $ après 17 années de service comme député à la Chambre des communes. À l’heure actuelle, le chef bloquiste a droit à une rémunération de quelque 200 000 $ (150 000 comme député et 50 000 en tant que chef d’un parti reconnu aux Communes).

On comprend mieux pourquoi le Bloc a fait plus d’un seul mandat, comme il devait le faire à l’origine. Duceppe voulait sa pension et vivre aux crochets des contribuables!


La candidate de Jean Charest élue dans Charlevoix

septembre 24, 2007

La panique à bord du rafiau libéral était palpable dès les premiers jours de la dernière campagne électorale générale du printemps dernier.  Elle connaît ce soir son apogée avec l’élection de la candidate de Jean Charest à l’élection partielle de Charlevoix.

En laissant la voie libre à Pauline, redevenue madame Marois selon la « blogueuse du Pq », Jean Charest a démontré au grand jour sa plus grande crainte : Mario Dumont.

Au fond, cette partielle ne vient que confirmer ce qu’une majorité de Québécois savent déjà, ce n’est plus le Pq l’adversaire à abattre pour les libéraux.

Ceci étant dit, soyons justes, ce soir, et félicitons-la pour cette victoire et soulignons que la défaite adéquiste est plus qu’honorable.


Marois: l’infirme linguistique

septembre 4, 2007

La grande blonde et son regard sournois

 

Je lisais tout à l’heure une lettre ouverte sur le site de Vigile, une excellente source d’informations séparatiste, qui dénonçait le journaliste du Devoir Antoine Robitaille pour un récent papier dans le quel il soulignait les difficultés de Pauline Marois dans la langue de Shakespeare.

 

Gaston Laurion, le signataire de la lettre ouverte, soutien qu’au Québec un politicien n’a pas à parler anglais!  Et nous sommes en 2007, en pleine mondialisation!

 

Je regrette, mais je suis d’accord avec Jacques Parizeau qui affirmait que ceux et celles qui, aujourd’hui au Québec, ne parlent pas anglais sont des infirmes.  J’imagine que ce la s’applique aussi à la châtelaine de l’Île-Bizarre.

Celle-ci aurait déclaré qu’elle suivrait peut-être d’autres cours d’anglais.  Qu’est-ce qu’elle attend?  D’être élue pour que ce soit l’Assemblée nationale qui lui paie des cours, alors qu’elle a largement les moyens de se payer un prof privé?

Le clip de Radio-Pirate qui circule depuis un certain temps sur le web en dit long, même si le traitement est assurément malicieux.  Un chef de parti qui ne peut s’exprimer dans la langue minoritaire sur le territoire québécois, mais majoritaire sur la planète, est assurément un infirme.

 

Le chef autonomiste Mario Dumont s’exprime parfaitement en anglais, tout comme, avant lui, les Landry, Parizeau, Johnson et même Lévesque.  Même le mal-aimé Jean Charest s’exprime dans un anglais fort acceptable.  Marois n’a aucune excuse!

Cet article a été publ


ADQ vs Pq: deux poids, deux mesures

septembre 2, 2007

Lorsque l’ADQ annonce une tournée de consultation sur les agresseurs sexuels, on l’accuse d’opportunisme, d’erreur de clacul, ou pire, on déforme carrément ses intentions.

Lorsque Marois annonce ses priorités de l’automne : crise forestière, défense de la langue française, commission parlementaire sur l’immigration, accommodements raisonnables, infrastructures, santé… que disent nos faiseurs d’opinions?  Ils bavent d’admiration, et ne cherchez surtout pas une critique devant cette liste d’épicerie à la limite du risible.  Imaginez, le Pq qui veut parler d’accommodement raisonnable, un dossier qu’il a laissé pour compte jusqu’à ce qu’il se rende compte que Dumont marquait des points.

Or, la question que je pose à nos journalistes est simple : si c’est opportuniste de la part de Mario Dumont de parler d’accommodements raisonnables, cela l’est-il pour Pauline Marois?

N’est-il pas opportuniste pour le Pq et Marois de vouloir parler de la défense de la langue française quand on sait combien sa réforme ratée de l’éducation aura eu un effet dévastateur sur l’apprentissage de la langue de chez nous?  Ou que c’est sous un gouvernement péquiste, dont faisait partie Pauline Marois, que les COFIS sont morts, hypothéquant l’intégration des nouveaux arrivants à la majorité francophone?

La chef séparatiste réhabilite le « NOUS » en précisant qu’il est avant tout francophone et voici un éditorialiste qui affirme qu’elle l’a fait avec finesse et habilité.  Évidemment, elle a tellement d’expérience!  Que ce « NOUS » ethnique exclue une partie importante de la Nation ne semble avoir effleuré l’esprit de l’éditorialiste pas plus que la référence directe au discours ethnocentrique à la limite de l’apartheid, prononcé par un Jacques Parizeau courroucé le soir du dernier référendum perdu par le camp du Oui!

Je ne dis pas que nos journalistes ont perdu leur sens critique, je dis qu’il ne l’exerce pas de la même façon à l’endroit de l’ADQ, voilà!