Menteur menteur

octobre 2, 2007

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Radio-Pq annonce que Duceppe partira, puis partira pas, puis partira encore.   Y a-t-il encore quelqu’un qui croit les bouffonneries de ce séparatisse de toute façon?

 Ça n’a pas de sens, c’est du journalisme de bas étage. Sans rigueur aucune, on aurait pu m’appeler. Vous avez dit tantôt, on va parler au principal intéressé. Ç’aurait été la moindre des choses de vérifier mon opinion.

Duceppe fait de la politique de bas étage depuis plus d’une décennie, en se faisant élire sans jamais être au pouvoir et tout ça pour sa belle pension.   Et maintenant faudrait lui demander son opinion et être gentil avec M. le séparatisse?

Bon débarras s’il s’en va!  De toute façon les péquisses et les bloquistes sont dans un cul de sac avec d’un côté un parti qui ne sera jamais au pouvoir et de l’autre une grande châtelaine de la haute société qui se paye des toilettes en or massif et qui ne ressemble en rien au petit peuple.

Il serait peut-être temps de mettre tout ce monde-là au chômage, qu’en pensez-vous?


Le Devoir dans les bas fonds de la blogosphère…

septembre 28, 2007

 

Wow! Je ne suis pas moi et il n’est plus certain d’être lui, bref nous sommes plusieurs!

C’est ainsi que je résume l’article que signe Antoine Robitaille (je vais lui faire de la pub, puisqu’il m’en fait une bonne) dans le très sérieux Devoir de ce matin.

Sur quoi se base notre Pulitzer en herbe pour étayer sa théorie? (Ici je sème le doute, serais-je journaliste pour citer Pulitzer?) Sur des ragots écrits sur d’obscurs blogues, un affirmant que je suis une attachée de presse de l’ADQ, l’autre que je suis un chef de cabinet! Ah oui! Les similitudes, je ne prends même pas la peine de les relever…

Il est vrai que ce journaliste m’a envoyé quatre courriels « insistants », c’est lui qui le dit. Il est aussi vrai que je n’ai pas répondu. Un bon samaritain m’avait informé, il y a quelques jours, que j’allais certainement être contacté par un journaliste du Devoir : « il va te dire qu’il fait un papier sur les blogues politiques, mais en fait ses questions ne portent que sur toi, d’autres ont été appelés de la même façon… » À la lecture de son texte, je crois avoir bien fait, c’est un p’tit rusé (là je ne suis pas trop diffamatoire j’espère!)

Tout ceci pour dire que le « scoop » (tiens, le MisterP en moi qui veux sortir) du très sérieux Devoir c’est du vent, une tempête dans un dé à coudre (là, c’est certain que je suis une fille)!

J’ai hâte de lire la suite! Qui se cache derrière certains blogues séparatistes, comme par exemple « jesopinions »? J’ai, moi aussi ma théorie là-dessus… Mais ça, ce sera pour un autre billet! 🙂


La candidate de Jean Charest élue dans Charlevoix

septembre 24, 2007

La panique à bord du rafiau libéral était palpable dès les premiers jours de la dernière campagne électorale générale du printemps dernier.  Elle connaît ce soir son apogée avec l’élection de la candidate de Jean Charest à l’élection partielle de Charlevoix.

En laissant la voie libre à Pauline, redevenue madame Marois selon la « blogueuse du Pq », Jean Charest a démontré au grand jour sa plus grande crainte : Mario Dumont.

Au fond, cette partielle ne vient que confirmer ce qu’une majorité de Québécois savent déjà, ce n’est plus le Pq l’adversaire à abattre pour les libéraux.

Ceci étant dit, soyons justes, ce soir, et félicitons-la pour cette victoire et soulignons que la défaite adéquiste est plus qu’honorable.


ADQ vs Pq: deux poids, deux mesures

septembre 2, 2007

Lorsque l’ADQ annonce une tournée de consultation sur les agresseurs sexuels, on l’accuse d’opportunisme, d’erreur de clacul, ou pire, on déforme carrément ses intentions.

Lorsque Marois annonce ses priorités de l’automne : crise forestière, défense de la langue française, commission parlementaire sur l’immigration, accommodements raisonnables, infrastructures, santé… que disent nos faiseurs d’opinions?  Ils bavent d’admiration, et ne cherchez surtout pas une critique devant cette liste d’épicerie à la limite du risible.  Imaginez, le Pq qui veut parler d’accommodement raisonnable, un dossier qu’il a laissé pour compte jusqu’à ce qu’il se rende compte que Dumont marquait des points.

Or, la question que je pose à nos journalistes est simple : si c’est opportuniste de la part de Mario Dumont de parler d’accommodements raisonnables, cela l’est-il pour Pauline Marois?

N’est-il pas opportuniste pour le Pq et Marois de vouloir parler de la défense de la langue française quand on sait combien sa réforme ratée de l’éducation aura eu un effet dévastateur sur l’apprentissage de la langue de chez nous?  Ou que c’est sous un gouvernement péquiste, dont faisait partie Pauline Marois, que les COFIS sont morts, hypothéquant l’intégration des nouveaux arrivants à la majorité francophone?

La chef séparatiste réhabilite le « NOUS » en précisant qu’il est avant tout francophone et voici un éditorialiste qui affirme qu’elle l’a fait avec finesse et habilité.  Évidemment, elle a tellement d’expérience!  Que ce « NOUS » ethnique exclue une partie importante de la Nation ne semble avoir effleuré l’esprit de l’éditorialiste pas plus que la référence directe au discours ethnocentrique à la limite de l’apartheid, prononcé par un Jacques Parizeau courroucé le soir du dernier référendum perdu par le camp du Oui!

Je ne dis pas que nos journalistes ont perdu leur sens critique, je dis qu’il ne l’exerce pas de la même façon à l’endroit de l’ADQ, voilà!


Norbourg: un scandale péquiste?

août 29, 2007

Lucien Bouchard en compagnie de l’ex-lieutenant gouverneure en disgrâce, Lise Thibault

Tiens donc!  Le gouvernement très social-démocrasse du péquiste Lucien Bouchard a subventionné, pour près de 1 MILLION DE DOLLARS provenant de la poche des Québécois, le crosseur de Vincent Lacroix, digne représentant devait-on se dire de Québec inc.!

C’est ainsi que Saint-Lucien et avec lui toute la « péquisterie » de l’époque se retrouve mouillée jusqu’aux oreilles dans le SCANDALE NORBOURG!

Mais où était donc la châtelaine de l’Île-Bizarre, celle qui fait du tourisme de luxe dans Charlevoix?  Elle était rien de moins que ministre d’État à l’Économie et aux Finances.

Est-ce cela la grande expérience dont elle se crédite?  Est-ce cela l’effet Marois dont nous parle tant la grosse Presse aujourd’hui?