Les idées intéressantes de davidg

novembre 20, 2007

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Je m’excuse, chers lecteurs/lectrices de ce blogue. J’ai été débordée ces temps-ci. J’ai dû dépenser beaucoup d’énergie en conseils divers et en tracasseries administratives. Le travail, c’est la santé… Mais trop de travail, sûrement pas!J’ai lu un commentaire qui m’a beaucoup plus. Ce sont des propositions d’un dénommé davidg, et je dois dire que je suis d’accord avec plusieurs de celles-ci.

1) Chaque citoyen québécois agé de 18 ans et plus devrait recevoir un revenu de citoyenneté de 836$ par mois non imposable indexable à chaque année selon l’inflation (même Friedman était d’accord avec ce principe, par le biais de l’impôt négatif). Ce montant de 836$ est le montant actuel de l’aide sociale pour les personnes seules ayant des contraintes sévères à l’emploi, i.e. seulement 10 032$ par année, c’est beaucoup moins que la plupart d’entre vous pensent. Ce programme serait beaucoup moins cher à gérer que le programme actuel d’aide sociale qui est un délire bureaucratique.

2) Abolir les garderies d’État et verser des allocations familiales pour chaque mineur de moins de 18 ans.

3) Abolir le salaire minimum.

4) Modifier le Code du travail pour ne garder que les mesures obligeant les employeurs à payer leurs employés pour chaque heure travaillée. Pas de vacances obligatoires et de jours fériés obligatoires. Préavis obligatoire d’une seule journée pour les congédiements (à la place des deux semaines actuellement).

5) Abolir la réglementation gouvernementale des syndicats. Pas de loi anti-scabs. Pas de formule Rand: les employés pourront s’associer pour signer des contrats de travail avec les employeurs. Permettre le droit à l’association et le droit à la non-association.

6) Abolir progressivement l’assurance-emploi, la Régie des rentes, les pensions de veillesse et la CSST. Les travailleurs pourront s’assurer privément pour tout cela et poursuivre les employeurs en cas d’accident de travail. Beaucoup d’argent économisé dans l’abolition des ces programmes.

7) Privatiser la SAQ et Loto-Québec. Le gouvernement pourrait quand même prélever de généreuses taxes (encore plus qu’en ce moment) pour couvrir les coûts sociaux. Permettre la concurrence dans ces deux secteurs.

8- Privatiser les universités McGill, Concordia, Bishop’s et UQAM. Permettre la concurrence par de nouvelles universités privées. Cependant, je crois
qu’il faut garder les autres universités dans le réseau public afin d’assurer un accès à l’université pour tous ceux qui en ont la capacité intellectuelle.

9) Privatiser les cégeps publics anglophones. Privatiser le système public d’instuction anglophone secondaire et primaire. Abolir les subventions aux écoles privées qui pourront enseigner dans la langue qu’elles voudront. Garder le système des écoles et cégeps publics francophones afin d’assurer l’accès aux écoles pour tous.

10) En santé, permettre la concurrence par des hôpitaux privés. Conserver le système public afin d’assurer l’accès à des soins de santé décents pour tous. Recourir aux partenariats public-privé seulement pour désengorger les files d’attente.

11) Abolir les mesures protectionnistes dans le commerce avec les autres pays.

12) Abolir les prix planchers pour tous les produits agricoles comme le lait. Si le gouvernement tient absolument à intervenir dans le secteur agro-alimentaire, qu’il achète Sobeys-IGA, car le cartel de l’alimentation au détail au Québec est préoccupant.

13) S’assurer de l’autonomie électrique du Québec (par de nouveaux barrages ou peut-être par des éoliennes). Privatiser Hydro-Québec me semble prématuré (pour le moment), l’électricité étant un service essentiel.

14) Abolir la taxe sur le capital qui est un non-sens.

15) Abolir les crimes sans victimes (drogue chez les adultes, cigarettes dans les bars pour adultes, prostitution adulte, casques de vélo chez les adultes et ceinture d’insécurité chez les adultes), ça va coûter beaucoup moins cher en incarcérations inutiles.

16) Abolir l’impôt sur les profits des sociétés. En contrepartie, abolir les subventions aux entreprises.

17) Abolir l’impôt sur les intérêts bancaires qui découragent l’épargne.

18) Privlégier les taxes à la consommation de biens non-essentiels pour les revenus de l’État. L’épargne est un puissant créateur de richesse qui doit être encouragé. S’il doit absolument y avoir un impôt sur les revenus des particuliers, que celui-ci soit simple et de type “flat tax”. Le “flat tax” sera quand même un impôt progressif, car le revenu de citoyenneté n’est pas imposé.

19) Réduire les dépenses militaires d’au moins la moitié. Rien ne justifie l’intervention canadienne en Afghanistan.

20) Faire l’indépendance du Québec afin d’abolir le fédéral qui coûte trop cher.

21) Abolir la réglementation sur les heures d’ouverture des commerces.

22) Abolir la sacro-sainte sécurité d’emploi dans le secteur public. Les plus compétents vont rester!

23) Il faut laïciser l’État une fois pour toutes. Bien sûr, ceux qui désireront des accomodements religieux pourront les payer de leur propre poche.

Je ne vais pas tout reprendre point par point, mais la plupart des propositions ci-haut sont déjà dans le programme de l’ADQ ou sont en discussion à l’interne.

2) L’abolition des CPE est une excellente idée. On n’a qu’à remettre un chèque aux familles et celles-ci choisiront ce qu’elles veulent pour leurs enfants.

3) L’abolition du salaire minimum est aussi un must pour le Québec de demain. À ce sujet, l’ADQ n’y est pas encore rendue, mais ça se discute déjà de geler le salaire minimum pour la durée d’un mandat adéquiste, ce qui, grâce à l’inflation, le ferait diminuer (à défaut de pouvoir l’éliminer; il ne faut pas oublier que malheureusement les pauvres ont le droit de vote).

4) Pour ce qui est du code du travail, je crois qu’il faut laisser les travailleurs s’arranger avec leurs patrons. Ce n’est pas à l’État à s’immiscer dans la relation travailleur-patron en payant des fonctionnaires pousseux de crayons inutilement. Si un patron ne paie pas son employé, c’est son droit. Mais c’est aussi le droit du travailleur d’aller se chercher un autre emploi.

5) L’abolition de la formule Rand est insuffisante. Il faudrait, à terme, éliminer le droit de grève partout où ça touche de près ou de loin le public. Le projet de l’ADQ en ce sens concernant le cimetière Côtes-des-Neiges est un premier pas dans la bonne direction. À terme, seule une infime minorité de syndicats auraient le droit de grève, et après quelques années on verrait le syndicalisme chuter, pour le grand bien de tous.

7) Privatiser la SAQ, Loto-Québec, Hydro-Québec et toute forme d’entreprise possédée par l’État est une priorité pour l’ADQ, crois-moi! L’État n’a pas à gérer ces entreprises et nous les confierons au plus offrant dans un appel d’offre équitable.

8-9) Privatiser les écoles… Encore une fois, tout doit être privatisé: écoles, hôpitaux, sociétés d’État. Le privé peut tout faire, et beaucoup mieux. Et ceux qui ne peuvent se payer ces services, et bien c’est just tout bad s’ils sont trop paresseux pour se mettre de l’argent de côté.

14) L’abolition de la taxe sur le capital est une autre priorité de l’ADQ. Il est insensé de limiter le commerce. Les investisseurs doivent pouvoir faire de l’argent comme ils le veulent sans avoir à partager leur labeur avec la collectivité.

16) L’abolition des impôts pour les entreprises est aussi une idée très pertinente. Les entreprises sont une richesse; les employeurs donnent déjà des emplois au monde… Doit-on en plus les priver de leur richesse? Ils ne doivent rien à personne. Qu’on les laisse s’enrichir en paix!

18) La flat-tax est une autre idée adéquiste, qui risque de revenir bientôt, lorsque le parti aura pris le pouvoir. Pourquoi les riches devraient payer davantage que les pauvres? C’est ridicule. Les riches sont la fierté de notre peuple, le ciment de notre nation, le flambeau de notre liberté et de notre progrès collectif… et les vieux partis veulent voler ces gens en leur faisant payer davantage que les pauvres? Établissons un impôt unique que riches ou pauvres font payer. Que tu sois millionnaire ou que tu vives dans la rue, tu vas payer ton 20% d’impôt. Ça c’est la justice. Cessons de voler les riches et apprenons aux pauvres à payer!

22) Évidemment qu’il faut abolir la sécurité d’emploi!! Si un employé ne fait plus l’affaire, il doit pouvoir être congédié sur le champ, sans 4%. Merci bye bye un autre fera l’affaire!

Je ne suis pas d’accord avec quelques points, notamment au sujet de la guerre en Afghanistan. Car ces gens sont des héros au service de la liberté.

Mais je suis à 90% d’accord avec tes idées et de nombreux militants de l’ADQ les partagent également. Nous sommes prêts à faire table rase sur 45 années d’erreurs et à regader vers le futur pour un Québec plus brillant, plus prospère, où les pauvres (ces bébés gâtés de l’État providence) apprendront enfin la valeur du travail et où les plus riches seront récompensés pour leurs succès.


Un premier pas dans la bonne direction

novembre 8, 2007

dumont.jpgLa gogauche de Cyberpresse a beau essayer de discréditer le plan de Dumont pour améliorer l’éducation en coupant dans le gras des fonctionnaires, ça ne marche pas.  La population est tannée de payer pour engraisser des gratteux de fonds de tiroirs qui sont payés 75 000$ par année pour se pogner le derrière et niaiser sur l’internet.

Mais ce n’est qu’un début.  Quand l’ADQ sera au pouvoir, on ne va pas seulement couper le gras dans l’éducation, mais aussi partout il y a du gaspillage.  Tiens, comme il a été discuté en privé lors d’un conseil adéquiste, on pourrait éliminer les régies de la santé et permettre aux hôpitaux de se gérer librement selon les contraintes du marché, sans avoir à rendre de comptes aux pousseux de crayons de fonctionnaires caviars qui ruinent la classe moyenne avec leurs salaires de PDG.

Une autre économie d’échelle à envisager, même si c’est tabou, c’est l’aide sociale.   Mais pour ça, va falloir attendre que le parti soit majoritaire et bien en selle, car les B.S. ont malheureusement le droit de vote et voilà pourquoi nos gouvernements de la gogauche libérale et péquisse communiste leur donnent des cadeaux pour acheter leur vote.  Mais quand l’ADQ sera bien en place, et solide, il faudra s’y attaquer, notamment en éliminant le B.S. après une période fixe sans emploi.

Par exemple, si quelqu’un passe plus de 48 mois sur le B.S. dans sa vie entière, il serait coupé entièrement de revenu.  Ça va faire le B.S. de génération en génération et qui permet aux assistés sociaux de vivre comme des rois au dépend des contribuables!  Mais encore là, ce ne serait qu’un premier pas: l’objectif final est bien évidemment l’élimination totale du B.S.  A-t-on idée combien ça coûte entretenir 500 000 paresseux ou fraudeurs qui passent leur temps à boire de la bière et à jouer dans les machines à sous?

Évidemment que les idées de Mario Dumont et de l’ADQ dérangent.  On ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs, et il faudra continuer de parler sur le terrain pour convaincre la classe moyenne que l’ADQ est le seul parti ayant à coeur ses intérêts.   Ainsi, le coup de poker de Dumont sur les commissions scolaires n’est seulement qu’un premier pas dans la bonne direction.   Pour le moment, ce ne sont que les commission scolaires qui sont sous observation, mais demain ce sera l’entière société québécoise qui sera débarassée des profiteurs et des voleurs qui s’enrichissent honteusement sur le dos des travailleurs moyens non-syndiqués de la classe moyenne, le véritable terreau de notre peuple.


Pour l’abolition des commissions scolaires

novembre 5, 2007

fonctionnaire.gifLors de la dernière campagne électorale, l’ADQ avait surpris plusieurs en affirmant vouloir éliminer les commissions scolaires.  Aujourd’hui, avec un taux de participation à ces élections de près de 8%,  la popurlation québécoise vient de donner son appui au parti.

Pendant que les gogauchistes du PQ et du PLQ continuent de s’obstiner quant à savoir comment dépenser l’argent de la classe moyenne pour payer des salaires de millionnaire à des gratteux de fond de tiroir dans les commissions scolaires, les besoins sont criants.

Ne serait-il pas plutôt utile d’éliminer cette bureaucratie inutile, de se débarasser de ces fonctionnaires grassement payés pour rien, et de laisser le marché gérer les écoles?

La soviétisation du Québec a assez duré.  Quand l’ADQ va prendre le pouvoir, on va mettre fin au party de syndicaleux et on va non seulement casser leurs commissions scolaires, mais on va aussi réduire le salaire des profs, qui coûtent des centaines de millions de dollars en trop à l’État.  Et après, on laissera le libre-marché opérer et sélectionner ainsi ceux qui réussissent pour laisser tomber ceux qui échouent.

On ne votant pas aux élections scolaires, les Québécois ont voté, et ils ont voté ADQ.


La girouette du mouton frisé

octobre 17, 2007

girouette.gifIl était temps que l’Assemblée Nationale élimine le terme « girouette », utilisé comme une insulte par Jean Charest depuis plusieurs mois! Au nom de quel grand concept démocratique se donne-t-on le droit d’insulter ainsi le chef du parti d’opposition officiel?

Les gogauchistes et les médias qu’ils contrôlent (soit à peu près l’ensemble de la presse au Québec) répondront peut-être que Mario Dumont change souvent d’idée, qu’il veut à la fois réduire la bureaucratie et créer de nouveaux programmes, désengager l’État puis favoriser l’expansion de ses compagnies publiques, etc. Bref, ils diront que Charest a raison de traiter Dumont de girouette car celui-ci change ses positions au gré des sondages dans le seul but d’aller chercher des votes et de profiter du sujet « hot » du jour.

Mais pourquoi Dumont n’aurait-il pas le droit de changer d’idée? C’est aussi ça, la démocratie, être près des sujets d’actualités et des préoccupations de la majorité silencieuse. Au lieu de s’encrouter dans de vieux partis dogmatiques aux programmes sclérosés, voire fossilisés, et qui ne peuvent plus être modifiés par la suite, Dumont est capable de changer les politiques se son parti du jour au lendemain, quand il le veut, dès qu’il perçoit un changement dans l’opinion des gens.

Voilà pourquoi l’ADQ et Mario Dumont sont plus à l’écoute de la population que les autres partis et voilà pourquoi il n’est pas nécessaire d’avoir un programme fixe ou de longs cadres financiers à l’ADQ: le parti pourra de toute façon revenir sur ses positions s’il perçoit que l’opinion a changé.

Encore une fois, la gogauche péquistienne ou libéralichienne répondra peut-être que ce que Dumont demande c’est un chèque en blanc. Mais ils ont tort: on connaît la personnalité de Dumont, on sait qu’il a à bien les intérêts du Québec, et donc peu importe le programme de son parti (qui n’a aucune importance) on sait qu’on peut voter en toute confiance pour lui car il saura adapter ses politiques au jour le jour selon les sondages et selon ce que lui disent les gens ordinaires, c’est-à-dire ceux qui travaillent mais qui ne sont pas des millionnaires syndiqués qui vivent dans des châteaux.

Charest a donc tout à fait tort de traiter Dumont de girouette, car Dumont est avant tout un homme à l’écoute du peuple. Il devrait plutôt inspirer notre premier ministre qui devrait lui aussi écouter davantage la population et gouverner davantage selon les sondages, la meilleure façon de gouverner de toute façon.

Les insultes n’ont pas leur place à l’Assemblée Nationale, et bravo de les avoir enlevées!


Les niaiseries de Duceppe

octobre 13, 2007

bilde1.jpgLa même vieille histoire pour le chef du Bloc Québécois, Gilles Duceppe, toujours à pousser de hauts-cris avec sa voix tremblante pour crier au meurtre devant à peu près n’importe quoi pouvant espérer lui apporter des votes!

« Nouveau gouvernement, vieille politique. Au-delà du marketing, les conservateurs ne sont pas en phase avec le Québec, ni sur la politique étrangère, ni sur l’environnement, les questions sociales ou
économiques »

Au contraire, les Conservateurs ont bien compris ce que veut le Québec. Le Québec est tanné du niaisage des séparatistes et il est tanné de l’ambiguité sur la scène politique internationale. On veut de la clarté, et les Conservateurs sont clairs: on fait la guerre pour la paix, l’environnement ne doit pas primer sur l’économie, et l’économie doit passer avant l’aide pathologique aux névrosés gauchistes qui ne pourraient pas se faire cuire un oeuf sans le grille-pain de capitalisme inc.

Certains médias essaient de nous ramener dans le passé avec leur vision gogauchiste de la réalité, où il faudrait aider les plus démunis et compenser leurs faiblesses avec l’argent durement gagné des contribuables. Mais la société change! Les Québécois ne veulent plus d’une société de B.S. où l’État dilapide les fonds publics pour engraisser des robineux ou des bougons nourris au caviar, et les Conservateurs (tout comme l’ADQ) l’ont très bien compris et ils ont mis en place des programmes politiques simples mais efficaces pour s’assurer qu’éventuellement on en finisse avec cette merde néo-keynésienne.

Alors qu’il contine à jacasser le Duceppe. Pendant ce temps, les Québecois prennent le train des Conservateurs et des Adéquistes et filent vers une société peut-être pas plus juste, mais où le travail et la richesse sont appréciés à leur juste valeur et où on a compris que pour réussir, l’État doit se gérer comme une entreprise prospère, qui n’encourage pas la paresse et se débarasse de ses employés non-productifs.


Les creuseurs de trous caviar

octobre 11, 2007

cimetiereft7.jpgLes bébés gâtés de syndicaleux nourris au caviar qui travaillent au cimetière Côte-des-Neiges rejettent les offres patronales.   Déjà qu’ils font un salaire de riches pour une job qui a pas besoin d’éducation.  Ils devraient être contents de ce qu’ils ont et fermer leur gueule!

 Faut dire, avec notre société péquicisée depuis des années on a peur de sauver de l’argent sur le dos de ces gras-durs qui ont trois voitures et des grosses baraques en banlieue.  On devrait simplement dissoudre le syndicat et donner la job de creuser les trous à des immigrants au salaire minimum.  Ainsi, on ferait travailler un peu la racaille et on enverrait au chômage et dans le vrai monde les gros gâtés de pogneux de beigne de syndicaleux.

Faut arrêter d’avoir peur de s’attaquer aux syndicats.  À l’ADQ, on a compris ça depuis longtemps: la classe moyenne en a assez de voir ses impôts dépensés pour payer des paresseux à 70 000$ par année.  On doit travailler pour la classe moyenne et éliminer ces emplois surpayés et syndicalisés-béton pour les remplacer par des emplois au salaire minimum, soit la vraie valeur de ces creuseurs de trous.

Et le seul parti qui peut y arriver, n’en déplase à nos gogauchistes caviars, c’est l’Action démocratique du Québec.


Ça va marcher les fesses serrées au Pq

octobre 3, 2007

marois11.jpgLa châtelaine n’aime pas la dissension et elle s’assurera donc de museler quiconque ne pense pas comme elle dans son parti. J’ai l’impression que le parti lui-même en est rendu à ce contrôle parce qu’il veut éviter que sa fraction de communistes du SPQ-Libre ne le détruise sur la place publique.

« Dans un parti, tu acceptes que parfois tu gagnes, parfois tu perds. Quand le chef parle, tu suis. Les gens ou les groupes qui sont plus préoccupés par leur message personnel ou leur visibilité personnelle vont devoir faire un choix : rentrer dans le rang ou s’en aller. »

Heil Hitler! Suivez le chef et fermez-là! Même s’il est bon de se débarasser de la gogauche et des maudits syndicaleux, la byzantine bizarre dans son île impose de plus en plus son style autoritaire et centralisateur au parti.

Grand bien lui fasse! Pendant ce temps, l’ADQ va continuer à travailler pour le pouvoir tout en respectant les gens et en ayant un style de gestion beaucoup plus ouvert aux nouvelles idées et aux divergences.

Ça fait 30 ans que le vieux disque péquiste saute et qu’on essaye d’imposer une ligne de parti à tout le monde. Va-t-on réussir cette fois? La vérité, c’est qu’on s’en fout puisque ce tiers parti va probablement disparaître lors des prochaines élections!


La candidate de Jean Charest élue dans Charlevoix

septembre 24, 2007

La panique à bord du rafiau libéral était palpable dès les premiers jours de la dernière campagne électorale générale du printemps dernier.  Elle connaît ce soir son apogée avec l’élection de la candidate de Jean Charest à l’élection partielle de Charlevoix.

En laissant la voie libre à Pauline, redevenue madame Marois selon la « blogueuse du Pq », Jean Charest a démontré au grand jour sa plus grande crainte : Mario Dumont.

Au fond, cette partielle ne vient que confirmer ce qu’une majorité de Québécois savent déjà, ce n’est plus le Pq l’adversaire à abattre pour les libéraux.

Ceci étant dit, soyons justes, ce soir, et félicitons-la pour cette victoire et soulignons que la défaite adéquiste est plus qu’honorable.


Radio-Canada vote Pq dans Charlevoix?

septembre 13, 2007

Téléjournal de Radio-Canada du 12 septembre 2007

Si l’on en croit l’infographie utilisée par le Téléjournal de Bernard Derome, Radio-Canada vote pour le Pq.

C’est quand même curieux comme choix graphique puisque l’ADQ formant l’Opposition officielle devrait voir son logo en premier, suivi de celui du tiers parti.  SI on y va par ordre alphabétique, c’est encore le logo de l’ADQ qui devrait être vu en premier.  Le message est donc clair!


Marois: l’infirme linguistique

septembre 4, 2007

La grande blonde et son regard sournois

 

Je lisais tout à l’heure une lettre ouverte sur le site de Vigile, une excellente source d’informations séparatiste, qui dénonçait le journaliste du Devoir Antoine Robitaille pour un récent papier dans le quel il soulignait les difficultés de Pauline Marois dans la langue de Shakespeare.

 

Gaston Laurion, le signataire de la lettre ouverte, soutien qu’au Québec un politicien n’a pas à parler anglais!  Et nous sommes en 2007, en pleine mondialisation!

 

Je regrette, mais je suis d’accord avec Jacques Parizeau qui affirmait que ceux et celles qui, aujourd’hui au Québec, ne parlent pas anglais sont des infirmes.  J’imagine que ce la s’applique aussi à la châtelaine de l’Île-Bizarre.

Celle-ci aurait déclaré qu’elle suivrait peut-être d’autres cours d’anglais.  Qu’est-ce qu’elle attend?  D’être élue pour que ce soit l’Assemblée nationale qui lui paie des cours, alors qu’elle a largement les moyens de se payer un prof privé?

Le clip de Radio-Pirate qui circule depuis un certain temps sur le web en dit long, même si le traitement est assurément malicieux.  Un chef de parti qui ne peut s’exprimer dans la langue minoritaire sur le territoire québécois, mais majoritaire sur la planète, est assurément un infirme.

 

Le chef autonomiste Mario Dumont s’exprime parfaitement en anglais, tout comme, avant lui, les Landry, Parizeau, Johnson et même Lévesque.  Même le mal-aimé Jean Charest s’exprime dans un anglais fort acceptable.  Marois n’a aucune excuse!

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