Un premier pas dans la bonne direction

novembre 8, 2007

dumont.jpgLa gogauche de Cyberpresse a beau essayer de discréditer le plan de Dumont pour améliorer l’éducation en coupant dans le gras des fonctionnaires, ça ne marche pas.  La population est tannée de payer pour engraisser des gratteux de fonds de tiroirs qui sont payés 75 000$ par année pour se pogner le derrière et niaiser sur l’internet.

Mais ce n’est qu’un début.  Quand l’ADQ sera au pouvoir, on ne va pas seulement couper le gras dans l’éducation, mais aussi partout il y a du gaspillage.  Tiens, comme il a été discuté en privé lors d’un conseil adéquiste, on pourrait éliminer les régies de la santé et permettre aux hôpitaux de se gérer librement selon les contraintes du marché, sans avoir à rendre de comptes aux pousseux de crayons de fonctionnaires caviars qui ruinent la classe moyenne avec leurs salaires de PDG.

Une autre économie d’échelle à envisager, même si c’est tabou, c’est l’aide sociale.   Mais pour ça, va falloir attendre que le parti soit majoritaire et bien en selle, car les B.S. ont malheureusement le droit de vote et voilà pourquoi nos gouvernements de la gogauche libérale et péquisse communiste leur donnent des cadeaux pour acheter leur vote.  Mais quand l’ADQ sera bien en place, et solide, il faudra s’y attaquer, notamment en éliminant le B.S. après une période fixe sans emploi.

Par exemple, si quelqu’un passe plus de 48 mois sur le B.S. dans sa vie entière, il serait coupé entièrement de revenu.  Ça va faire le B.S. de génération en génération et qui permet aux assistés sociaux de vivre comme des rois au dépend des contribuables!  Mais encore là, ce ne serait qu’un premier pas: l’objectif final est bien évidemment l’élimination totale du B.S.  A-t-on idée combien ça coûte entretenir 500 000 paresseux ou fraudeurs qui passent leur temps à boire de la bière et à jouer dans les machines à sous?

Évidemment que les idées de Mario Dumont et de l’ADQ dérangent.  On ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs, et il faudra continuer de parler sur le terrain pour convaincre la classe moyenne que l’ADQ est le seul parti ayant à coeur ses intérêts.   Ainsi, le coup de poker de Dumont sur les commissions scolaires n’est seulement qu’un premier pas dans la bonne direction.   Pour le moment, ce ne sont que les commission scolaires qui sont sous observation, mais demain ce sera l’entière société québécoise qui sera débarassée des profiteurs et des voleurs qui s’enrichissent honteusement sur le dos des travailleurs moyens non-syndiqués de la classe moyenne, le véritable terreau de notre peuple.


Pour l’abolition des commissions scolaires

novembre 5, 2007

fonctionnaire.gifLors de la dernière campagne électorale, l’ADQ avait surpris plusieurs en affirmant vouloir éliminer les commissions scolaires.  Aujourd’hui, avec un taux de participation à ces élections de près de 8%,  la popurlation québécoise vient de donner son appui au parti.

Pendant que les gogauchistes du PQ et du PLQ continuent de s’obstiner quant à savoir comment dépenser l’argent de la classe moyenne pour payer des salaires de millionnaire à des gratteux de fond de tiroir dans les commissions scolaires, les besoins sont criants.

Ne serait-il pas plutôt utile d’éliminer cette bureaucratie inutile, de se débarasser de ces fonctionnaires grassement payés pour rien, et de laisser le marché gérer les écoles?

La soviétisation du Québec a assez duré.  Quand l’ADQ va prendre le pouvoir, on va mettre fin au party de syndicaleux et on va non seulement casser leurs commissions scolaires, mais on va aussi réduire le salaire des profs, qui coûtent des centaines de millions de dollars en trop à l’État.  Et après, on laissera le libre-marché opérer et sélectionner ainsi ceux qui réussissent pour laisser tomber ceux qui échouent.

On ne votant pas aux élections scolaires, les Québécois ont voté, et ils ont voté ADQ.


Le mot interdit

octobre 22, 2007

Une fille de 14 ans a été battue par une douzaine de personnes en même temps. Elle a été poursuivie, agressée verbalement, poussée par terre, rouée de coups, on lui a craché dessus, ou lui a donné des coups de pieds, on s’est acharné sur elle. Son crime? Elle a traité un noir de « nègre ».

On doit faire attention avec les mots ça c’est sûr. Traiter de nègre quelqu’un, ça ne se fait pas plus que de traiter quelqu’un de con, de salaud, de frog ou de quelque autre mot insultant que ce soit. Mais doit-on pour autant agresser physiquement la personne qui le fait? Doit-on la brimer dans son droit de dire ce qu’elle veut dire?

Nos « amis » gogauchistes aiment détester les États-Unis, mais là-bas il existe un amendement à la constitution qui permet de dire ce qu’on veut. On a compris là-bas que des mots ne sont que des mots et que chaque personne est libre de sa pensée. Si cette fille croit qu’un noir agissait en nègre, c’était son droit de le dire. Et que sait-on sur la personne insultée, au fait? Le « nègre » était-il dans un gang de rue? Agissait-il de manière répréhensible et terrorisait-il les autres étudiants?

Car comment appeler un noir membre de gang de rue qui agresse les gens, se promène avec son fond de culotte descendu jusqu’aux chevilles et qui défie un peu tout le monde dans la rue agressivement? Y a-t-il un mot qui puisse mieux décrire cet individu? Je pose la question, mais je suis trop intelligente pour donner la réponse… une réponse que tout le monde connaît.

Mais ici, au Québec, la liberté d’expression n’existe plus. Si on est une blogueuse et militante adéquiste comme moi, on n’a pas droit de dire ce qu’on veut. Seul les péquistes communistes ont le droit à leurs opinions. Les autres, qu’ils ferment leur gueule!

Le vrai crime, c’est pas que la fille ait traité le gars de nègre. À Montréal-Nord, y a des Québécois pure laine qui vivent un enfer à cause de gangs de rue violentes et sadiques. Cette fille a fait honneur à son peuple en se tenant debout et en exprimant ses opinions, même si on peut être en désaccord avec les mots choisis. Le vrai crime, ce sont ceux qui l’ont battue qui l’ont commis.

Et en se mettant à douze sur une jeune fille sans défense, ils ont agi en nègres en personnes ayant la caractéristique d’avoir la peau noire mais qui ne sont absolument pas sur-représentés dans les gangs de rue et les problèmes de violence vécus par Montréal. (Misère… Pourra-t-on un jour avoir droit à ses opinions dans cette province retardée ou devra-t-on constamment utiliser la langue de bois?)


La vérité qu’il ne faut pas dire…

octobre 19, 2007

medium_dm1993.jpgIl n’y a pas que les séparatistes ou le CRTC qui cherchent à bannir la liberté de parole des libres penseurs. À voir la réaction de plusieurs milieux face aux déclarations du Dr. Watson sur les Noirs et l’intelligence, (et à la suite du show de gogauchiste de TLMEP où Mailloux avait dit presque la même chose), on se demande vraiment si dans quelques décennies il sera encore possible de s’exprimer.

Car l’autonomie, ce n’est pas seulement la plate-forme de l’ADQ, mais c’est aussi un état d’esprit consistant à être maître de soi-même, de ses pensées et de ses écrits.

«Nos politiques sociales se fondent sur le fait que leur intelligence est la même que la nôtre (Occidentaux blancs), alors que toutes les recherches disent que ce n’est pas vraiment le cas.»

A-t-il tort d’écrire cela? Je ne crois pas. Il suffit de constater que la criminalité est beaucoup plus basse en régions qu’à Montréal pour s’en convaincre. Ou de lire les premières pages de journaux pour voir à quoi ressemblent les criminels.

Doit-on pour autant stigmatiser les gens contre les Noirs? Non plus. Car à mon avis ce n’est pas parce qu’ils sont Noirs que certains sont moins intelligents, mais peut-être plutôt, comme le Dr. Mailloux l’expliquait, parce qu’une sélection génétique a été opérée quand on les a amenés d’Afrique pour devenir esclave; les plus gros et les plus forts physiquement ont été amenés alors que les plus intelligents et moins costauds sont restés là-bas.

L’erreur de Watson est donc d’avoir blâmé la couleur de la peau, alors qu’il aurait dû blâmer les conditions historiques de l’esclavage chez les Noirs.

Mais la censure imposée par la gogauche (et même celle des États-Unis) empêche de se poser les nécessaires questions à ce sujet et font que la criminalité urbaine va continuer de se répandre et les gens perdront jusqu’à la capacité d’exprimer leur mécontentement.

Soyons autonomes, pas seulement le jour du vote, mais à tous les jours de l’année et ne nous soumettons pas devant la rectitude politique gogauchiste!  Soyons fiers de ce que nous sommes, c’est-à-dire des blancs francophones de descendance catholique de la province du Québec et autonomes dans un Canada uni!  Ne laissons pas la rectitude politique gogauchiste nous empêcher de militer pour notre peuple et pour ceux qui sont parmi les meilleurs de celui-ci (la classe moyenne et les gens des régions, le coeur de notre nation).


La girouette du mouton frisé

octobre 17, 2007

girouette.gifIl était temps que l’Assemblée Nationale élimine le terme « girouette », utilisé comme une insulte par Jean Charest depuis plusieurs mois! Au nom de quel grand concept démocratique se donne-t-on le droit d’insulter ainsi le chef du parti d’opposition officiel?

Les gogauchistes et les médias qu’ils contrôlent (soit à peu près l’ensemble de la presse au Québec) répondront peut-être que Mario Dumont change souvent d’idée, qu’il veut à la fois réduire la bureaucratie et créer de nouveaux programmes, désengager l’État puis favoriser l’expansion de ses compagnies publiques, etc. Bref, ils diront que Charest a raison de traiter Dumont de girouette car celui-ci change ses positions au gré des sondages dans le seul but d’aller chercher des votes et de profiter du sujet « hot » du jour.

Mais pourquoi Dumont n’aurait-il pas le droit de changer d’idée? C’est aussi ça, la démocratie, être près des sujets d’actualités et des préoccupations de la majorité silencieuse. Au lieu de s’encrouter dans de vieux partis dogmatiques aux programmes sclérosés, voire fossilisés, et qui ne peuvent plus être modifiés par la suite, Dumont est capable de changer les politiques se son parti du jour au lendemain, quand il le veut, dès qu’il perçoit un changement dans l’opinion des gens.

Voilà pourquoi l’ADQ et Mario Dumont sont plus à l’écoute de la population que les autres partis et voilà pourquoi il n’est pas nécessaire d’avoir un programme fixe ou de longs cadres financiers à l’ADQ: le parti pourra de toute façon revenir sur ses positions s’il perçoit que l’opinion a changé.

Encore une fois, la gogauche péquistienne ou libéralichienne répondra peut-être que ce que Dumont demande c’est un chèque en blanc. Mais ils ont tort: on connaît la personnalité de Dumont, on sait qu’il a à bien les intérêts du Québec, et donc peu importe le programme de son parti (qui n’a aucune importance) on sait qu’on peut voter en toute confiance pour lui car il saura adapter ses politiques au jour le jour selon les sondages et selon ce que lui disent les gens ordinaires, c’est-à-dire ceux qui travaillent mais qui ne sont pas des millionnaires syndiqués qui vivent dans des châteaux.

Charest a donc tout à fait tort de traiter Dumont de girouette, car Dumont est avant tout un homme à l’écoute du peuple. Il devrait plutôt inspirer notre premier ministre qui devrait lui aussi écouter davantage la population et gouverner davantage selon les sondages, la meilleure façon de gouverner de toute façon.

Les insultes n’ont pas leur place à l’Assemblée Nationale, et bravo de les avoir enlevées!


Les niaiseries de Duceppe

octobre 13, 2007

bilde1.jpgLa même vieille histoire pour le chef du Bloc Québécois, Gilles Duceppe, toujours à pousser de hauts-cris avec sa voix tremblante pour crier au meurtre devant à peu près n’importe quoi pouvant espérer lui apporter des votes!

« Nouveau gouvernement, vieille politique. Au-delà du marketing, les conservateurs ne sont pas en phase avec le Québec, ni sur la politique étrangère, ni sur l’environnement, les questions sociales ou
économiques »

Au contraire, les Conservateurs ont bien compris ce que veut le Québec. Le Québec est tanné du niaisage des séparatistes et il est tanné de l’ambiguité sur la scène politique internationale. On veut de la clarté, et les Conservateurs sont clairs: on fait la guerre pour la paix, l’environnement ne doit pas primer sur l’économie, et l’économie doit passer avant l’aide pathologique aux névrosés gauchistes qui ne pourraient pas se faire cuire un oeuf sans le grille-pain de capitalisme inc.

Certains médias essaient de nous ramener dans le passé avec leur vision gogauchiste de la réalité, où il faudrait aider les plus démunis et compenser leurs faiblesses avec l’argent durement gagné des contribuables. Mais la société change! Les Québécois ne veulent plus d’une société de B.S. où l’État dilapide les fonds publics pour engraisser des robineux ou des bougons nourris au caviar, et les Conservateurs (tout comme l’ADQ) l’ont très bien compris et ils ont mis en place des programmes politiques simples mais efficaces pour s’assurer qu’éventuellement on en finisse avec cette merde néo-keynésienne.

Alors qu’il contine à jacasser le Duceppe. Pendant ce temps, les Québecois prennent le train des Conservateurs et des Adéquistes et filent vers une société peut-être pas plus juste, mais où le travail et la richesse sont appréciés à leur juste valeur et où on a compris que pour réussir, l’État doit se gérer comme une entreprise prospère, qui n’encourage pas la paresse et se débarasse de ses employés non-productifs.


Les creuseurs de trous caviar

octobre 11, 2007

cimetiereft7.jpgLes bébés gâtés de syndicaleux nourris au caviar qui travaillent au cimetière Côte-des-Neiges rejettent les offres patronales.   Déjà qu’ils font un salaire de riches pour une job qui a pas besoin d’éducation.  Ils devraient être contents de ce qu’ils ont et fermer leur gueule!

 Faut dire, avec notre société péquicisée depuis des années on a peur de sauver de l’argent sur le dos de ces gras-durs qui ont trois voitures et des grosses baraques en banlieue.  On devrait simplement dissoudre le syndicat et donner la job de creuser les trous à des immigrants au salaire minimum.  Ainsi, on ferait travailler un peu la racaille et on enverrait au chômage et dans le vrai monde les gros gâtés de pogneux de beigne de syndicaleux.

Faut arrêter d’avoir peur de s’attaquer aux syndicats.  À l’ADQ, on a compris ça depuis longtemps: la classe moyenne en a assez de voir ses impôts dépensés pour payer des paresseux à 70 000$ par année.  On doit travailler pour la classe moyenne et éliminer ces emplois surpayés et syndicalisés-béton pour les remplacer par des emplois au salaire minimum, soit la vraie valeur de ces creuseurs de trous.

Et le seul parti qui peut y arriver, n’en déplase à nos gogauchistes caviars, c’est l’Action démocratique du Québec.


Le plus grand traître

octobre 6, 2007

rene_face.jpgLes Jeunes Patriotes du Québec, une bande d’adolescents attardés dans leur phase de révolte contre l’autorité, ont créé un « concours

» afin de déterminer le plus grand traître du Québec. Des noms de grands Canadiens comme Trudeau, Morin côtoient d’autres comme Dion ou Michaëlle Jean. Une initiative des plus loufoques!

Mais je suis bonne joueuse (la preuve, j’ai même téléphoné à Antoine Robitaille pour lui confirmer que je suis bien Élodie Gagnon-Martin, mais il a refusé d’en parler de peur de tuer son « scoop ») alors moi aussi je veux proposer un nom. Le plus grand traître de l’histoire du Québec est …(roulement de tambours)… René Lévesque!

Lévesque a non seulement voulu briser le Canada, mais il a également monté les Québécois les uns contre les autres, dans un débat qui encore aujourd’hui oppose des péquistes pognés dans les années 70 et des libéraux encore rattachés à leurs rêves d’équipe du tonnerre de Jean Lesage et des années 60.

Avec son projet de séparation, le Québec a reculé de dizaines d’années, et c’est sans parler de la loi 101. Sans cette loi inutile, nous pourrions aujourd’hui être parmi les plus compétitifs du monde, parlant très bien l’anglais et même travaillant en anglais, au lieu d’être des obstacles aux entreprises désirant s’établir ici.

Et que dire de ses projets de communisto-démocratie, qui ont volé la crème de la crème des créateurs d’emplois et des riches entrepreneurs avec des impôts trop élevés. Le Québec a reculé avec Lévesque comme avec personne d’autre!

Et vous, qui voyez-vous comme pire traître du Québec? Landry, Marois, Bouchard, Parizeau? Tous ces communistes de la séparation qui empêchent les entreprises de gagner leur argent en paix et de créer de l’emploi! Il serait peut-être temps de couler des bronzes à eux aussi afin qu’ils servent de toilette aux pigeons, qui eux ont compris la véritable valeur de tous ces séparatistes de la gogauche caviar.


Les bloqués du B.S.

octobre 5, 2007

bilde.jpgLes bloqués veulent maintenant augmenter le supplément de revenu garanti accordé aux aînés afin soi-disant « d’améliorer la vie des aînés ».  Mais la vraie question est: les aide-t-on vraiment en leur donnant la charité?  Et surtout, aide-t-on l’ensemble de la société en leur offrant ce B.S. de la vieillesse?

 Ces gens-là ont eu toute la vie pour se ramasser de l’argent pour leurs vieux jours.  Ceux qui sont pauvres ont choisi d’être pauvres et de vivre dans la misère.  Ils ont fait des choix, et maintenant ils demandent à l’État de les consoler et de dépenser l’argent durement gagné par la classe moyenne pour réparer leurs erreurs?  Quel gaspillage!

Et quel exemple donne-t-on aux plus jeunes?  « Vous pouvez dépensez comme vous voulez et si vous êtes pauvres l’État va se charger de vous! »  C’est une mentalité de péquistes B. S.   qui nuit à l’économie et à notre société.

Au lieu d’augmenter l’aide aux B.S. (jeunes ou vieux) il faudrait plutôt penser à éliminer complètement cette dépense inutile qui vole ceux qui travaillent et sont productifs pour faire vivre des pachas dans le caviar et la bière et qui fraudent à longueur de mois.  Et les personnes âgées seront peut-être enfin prises en charge par leurs enfants, et non par l’État.

Fini le niaisage:  il faut dire non aux gauchistes et aux péquistes qui veulent dilapider les ressources étatiques pour remplir les poches des plus pauvres, ceux qui ne foutent rien et qui, dans les faits, sont une nuisance pour la société.

À défaut de pouvoir éliminer physiquement les pauvres, la moindre des choses serait de ne pas encourager leur existence.  Bottons-leur les fesses un peu, et au travail, jeunes comme vieux!   Vite un gouvernement adéquiste pour leur botter les fesses!


Du bon côté du fusil

octobre 4, 2007

terrorism-and-fear.jpg

J’ouvre la télévision, et que vois-je: Radio-Pq qui essaie de faire une grosse controverse (sûrement davantage que celle de M. Snobb sur mon identité) parce qu’une compagnie canadienne s’en va faire des profits en Irak. Encore du petit journalisme!

Nos chers gogauchistes qui s’opposent à la guerre en Irak disent que c’est une guerre pour le pétrole. Et bien oui, justement! Il y avait en tout à peu près 2 trillions de baril de pétrole disponible, et nous en avons consommé depuis un peu plus de cent ans à peu près 1 trillion, ce qui veut dire qu’il en reste seulement la moitié. Avec une consommation annuelle de 27 milliards de baril, si la demande n’augmentait pas (ça n’arrivera pas) et si nous pompions le pétrole jusqu’à la dernière goutte (ce qui est impossible, car à partir du moment où ça prend plus d’un baril de pétrole pour extraire un baril de pétrole on arrête tout), il resterait environ 35 ans de pétrole sur Terre.

C’est bien une guerre pour le pétrole, et préférons-nous voir l’or noir, le sang vital de notre société, entre les mains de barbares islamistes comme les Talibans, les Iraniens, les Irakiens ou tout autre peuple assoiffé de sang? On peut reprocher ce qu’on veut aux Américains, mais mieux vaut que ce soit eux qui aient ce qui restent de pétrole. Et quand les autres voudront leur part, on sera du bon côté du fusil pour protéger non seulement notre démocratie, mais aussi notre civilisation.

Et s’il faut tuer des milliers de terroristes – des animaux – pour ce faire, alors n’hésitons pas une seconde car nous sommes le flambeau de la liberté sur terre et notre mode de vie n’est pas négociable!  Si ce monde n’est pas assez grand pour eux et nous, c’est notre devoir patriotique de faire de la place.